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Le 12 avril 2013 à 04h27, une explosion chimique d'une intensité inconnue frappe la ville de Bergamo, petite cité industrielle située au cœur des montagnes caucasiennes. En moins de deux heures, 80% de la population est soit morte, soit disparue, les rares survivants présentant des symptômes graves : lésions pulmonaires, hallucinations, perte de mémoire, et mutations physiques anormales.
L’attaque est rapidement classée niveau Alpha Rouge par l’OTAN : usage potentiel d’arme chimique non conventionnelle par une puissance inconnue.
Le 15 avril 2013, une unité d’élite américaine, OMEGA-7, est déployée depuis la base aérienne de Ramstein, Allemagne. Leur mission :
Évaluer les risques NRBC (nucléaire, radiologique, biologique, chimique)
Extraire tout survivant pertinent
Identifier le groupe responsable de l’attaque
À bord d’un hélicoptère UH-60 Black Hawk, ils traversent l'espace aérien sans autorisation explicite, guidés par des renseignements flous fournis par une source en Russie.
À 06h14, à l'approche de la vallée de Dakhovskaya, une batterie anti-aérienne mobile (probablement SA-22 Pantsir) ouvre le feu. Le Black Hawk est abattu sans sommation. L’appareil s’écrase en haute montagne, à la lisière d’un ancien sanatorium soviétique abandonné.
Sur les 14 hommes de l’unité, seuls 5 survivent au crash. Sans radio, sans renfort, et en territoire hostile, ils se retrouvent livrés à eux-mêmes, avec des conditions extrêmes et un ennemi invisible.
Autour du point d'impact, la région est transformée en ce que les soldats appellent la Zone Rouge :
La végétation est morte ou corrompue
Les animaux sont mutants ou absents
L’air est lourd, irrespirable sans filtre
Des voix se font entendre dans le vent
Chaque nuit, des formes se déplacent dans les ruines de Bergamo, éclairées par des lueurs verdâtres. Les survivants parlent d'une présence, d'une entité ou d’une faction agissant dans l’ombre, utilisant des technologies interdites, et d’un culte étrange dans les montagnes.
"Il n’y a pas de sauvetage. Il n’y a pas de secours. Ici, seuls les forts ou les fous survivent."
— Capitaine Marcus DeWitt, dernier message enregistré de l’escouade OMEGA-7